lundi 30 juin 2008

Figma et Gotham Knight

En repérage, depuis quelques jours, de ce qui se passe au Japon, en vue de mon petit périple, je suis tombé sur cette marque d'action figures : FIGMA.
Les figurines Revoltech ayant changé la donne des action figures, il était normal que d'autres s'engouffrent dans ce créneau.

Alors, apparemment, les Figma proposent des figurines assez kawai, voire girly, mais la finition a l'air d'être d'aussi bonne qualité que les Revoltech.

En voici un sur lequel je craque un peu...

Toutes les infos sur : http://www.figma.jp/

Et voila le Blue Ray du jour...

vendredi 27 juin 2008

Soul Bubbles


Bien que je délaisse la casual DS pour sa maîtresse hardcore PSP, la DS propose toujours, à part sa flopée de RPG et de Girlies, des jeux franchement chouettes.

Soul Bubbles, on pense à plein de trucs, surtout les jeux SNES. Enfin, c’est pas une question de graphisme ou de gameplay (bien au contraire, celui de Soul Bubbles est très novateur et exploite parfaitement le stylet) mais d’ambiance. J’ai retrouvé un peu les émerveillements de la 16 bits, un cote sprite, un décorum très travaillé. Je pensais à Bubsy, Lost Viking, Cool Spot, Earthworm Jim, la grande époque des cartouches SNES à licence disney, etc. etc. Mais, moderne… DS… impeccable.

Chapeau, il y aura toujours des créateurs, quoique l’on dise…

Prends le Julien…

De Sète à Tokyo

Le week end dernier, nous sommes partis à Sète, la ville de mon enfance.
J'en ai profité pour ramener une tielle, ainsi que des gnocchis et raviolis de chez calmel, le meilleur fabricant de pâtes que je connaisse (encore une madeleine).
Une petite tielle de la rue de la révolution.
La tielle, c'est une tourte de poulpes en sauce tomate un peu piquante. c'est LA spécialité de Sète (n'oublions pas la macaronade, la bouride, etc.). La pâte, c'est un peu de la pâte à pizza, mais en cuisant, elle se colore de tomate... miam

Les raviolis de calmel au boeuf

Et voila, sortant du four.

En fait c'était pas terrible car j'avais trop poussé ma sauce tomate, n'étant pas assez liquide à la base, les raviolis étaient trop... al dente.


Sinon, évidemment, je pense beaucoup au japon...



Dire que bientôt je serais à Akihabara...

La PSP me fascine à nouveau (ça va...) , et j'ai profité des soldes pour prendre quelques jeux un peu bradés.


Monster Hunter 2, Crisis Core (pas en solde évidemment) et du old school, Castlevania et les compils Capcom et Sega Megadrive.


Retrogaming dans l'avion.

jeudi 26 juin 2008

Bientôt...

Le Japon...
Et ouais, je pars dans 20 jours à Tokyo...
Passez vos commandes bande de geek...
Oyasuminasaï !

mercredi 25 juin 2008

no country for the old man


Voilà, Metal Gear Solid 4 est fini… Depuis 3 jours exactement. Alors ? Sur la durée ? Toujours aussi enthousiaste ?

AYE SIR !

Kojima est décidément très fort. Bien sur, sa réflexion sur le jeu en tant que média n’est pas aussi forte que ce qu’il a pu faire dans MGS2 (quoiqu’il y ait des petits trucs bien sentis). Nous sommes bien en présence d’un jeu réalisé par un fan pour les fans. Autant dire que ceux qui n’ont jamais joué à un MGS risque d’être fortement décontenancé. En fait, ils ne comprendront rien du tout, tant le jeu regorge d’informations et de clin d’œil. De plus, on ne peut pas dire qu’il soit révolutionnaire que ce soit à un niveau graphique ou de gameplay, mais c’est MGS, ce supplément d’âme que l’on trouve rarement dans les jeux. Ce que Kojima a parfaitement compris c’est l’implication que doit mettre le joueur. Il doit avoir de l’empathie pour les personnages (ce qui n’existe pas dans des jeux tel Gears of War voire God of War), l’aimer, rire et souffrir avec lui (au sens propre comme au figuré, notament dans le "couloir à micro-ondes").
Je ne vois pas trop de défauts à MGS4, un super level design, des phases de jeu franchement géniales (haaa la filature dans la petite ville d’europe de l’est, le retour à Shadow Moses), des easter eggs à la Kojima… Alors bien sur, beaucoup de cinématique et de bavardages, beaucoup de pathos à la japonaise, l’IA des adversaires parfois très énervantes, des boss un peu anecdotique comparés à ceux des précédents volets… Mais tout ça, c’est vraiment pour entrer dans des considérations de Gamer, soit finalement pas très intéressantes et proches des préoccupations des FPS Fan
Il n’y a rien à spoiler dans le jeu. Pas de révélations fracassantes (je m’attendais un peu à tout ça), pas de twist (si on avait pas compris qu’Ocelot était le good guy et que Snake est manipulé depuis toujours par les Patriotes…). En fait, MGS4 permet un baroud d’honneur à TOUS les personnages des MGS, même si parfois leurs intrusions s’avère assez peu justifié (Major Zero… hum…). C’est un peu comme les génériques de fin des Zelda où tous les personnages nous font un petit coucou. Même le combat final est dans cette veine ; en décalque complet du combat final de MGS1 contre Liquid, les musiques reprennent les thèmes de tous les MGS, le style même diffère et c’est plutôt rare de montrer dans un jeu vidéo un combat avec de l’émotion et qui s‘avère touchant d’un bout à l’autre (ouah le baiser d’Ocelot à Snake…).

Bref, ça faisait bien longtemps que je n’avais pas atteint ces sensations… depuis, quoi ? Shadows of Colossus ? Okami ?


Maintenant c'est fini, je n'en parle plus... jusqu'à...


jeudi 19 juin 2008

sardines en boite

Les sardines millésimées... Comment ce petit poisson, assez vulgaire pour certain, arrive-t-il a atteindre ce degré de saveur ?
Les sardines millésimées ne sont rien d'autres que des sardines en boite. Mais ce sont les plus belles sardines, triées avec minutie et recouvertes de la meilleure huile.
En fait, la différence entre une boite de sardines ordinaires et des millésimées, c'est un peu comme comparer un pâté de foie avec un bloc de foie gras...

Les sardines se bonifient avec le temps. il faut être patient car une boite ne commence réellement a confire qu'au bout de 2 ans. Et c'est au bout de 6 qu'elles développent totalement son goût. On peut les conserver une dizaine d'années, mais, attention car elles peuvent être désagrégées.
Par contre, il faut penser a les retourner tout les 6 mois environ, pour que l'huile fasse bien son travail, ce qui me plaît toujours car je redécouvre les dessins, les reclasse par date de production... il y a même certaines boites que je n'ose ouvrir tant je trouve le graphisme joli... Et n'oubliez pas, de bonnes sardines ne seront jamais engorger d'huile.

Ci-dessus, et pour l'anecdote, des chicas picas. C'était les sardines préférées de Jean Gabin.

Mis a part les déguster avec du pain grillé et un petit muscadet frais, voici une petite recette super bonne et facile : les rillettes de sardines.

J'en ai fait hier soir pour un petit dîner apéro, mais j'ai complètement oublié de faire des photos...

Il faut, une bonne boite de sardines (la belle iloise, la quiberonaise ou rodel pour parler des plus simples a trouver dans le commerce. Il faut éviter les titus, toujours très très très grasse).

Une fois les sardines égouttées et auxquelles on a retire l'arrête, on les écrase a la fourchette (jamais au mixeur !). On mélange avec les 2/3 d'une boite de st morret (certains préfèrent du beurre... dont ma mère...je vous laisse juge...) soit 100 gr environ, mais c'est au goût de chacun et a la texture que l'on veut donner aux rillettes. un peu de ciboulette hachée, du poivre et un petit filet de citron et voila !
On les déguste sur des toasts grillés accompagné de petits oignons nouveaux.

On peut ajouter également un peu de coriandre et de curry pour avoir une saveur "indienne"


Ben sinon des derniers trucs achetés.
BRD d'Applessed et de D-War (je sais, je sais...). ainsi que celui de Vantage Point (on verra, j'aime bien le cast et le synopsis).
DVD criterion du Voleur de Bagdad (trop content !!!) et celui de Mishima, un film de Paul Shrader, assez barre (sans blague !?), surtout pour un biopic. je l'ai vu qu'une fois et il y a assez longtemps, mais il m'avait fait une grande impression.
CD de Weezer, Bonnie "Prince" Billy, The No Twist, et...... Denis Wilson qui est.... et ben disons que j'ai falli supprimer mon ancien post sur lui... va falloir que je le réécoute...

Hell for Squirrels !

mercredi 18 juin 2008

riz thai et larmes du tigre

Voila une recette très très très simple, le seul problème est qu'il faut de nombreux produits asiatiques.
Alors, on a du riz thaï au jasmin, poudre de riz, graine de sésame, épices 5 parfums, huile de sésame, sauce de poissons, petits pois, saucisses chinoises.
Dans les végétaux, gingembre, coriandre, menthe, basilic thaï , citronnelle, ciboule, pousse d'oignon, piment.


sauce soja et vinaigre de riz.

Un morceau de jambon.

La saucisse chinoise tranchée et passée à la poêle. 4 oeufs prêt à être battu et préparés en omelette.

Les 4 ingrédients de base pour notre riz thaï , les queux de langoustines, une petite omelette, des lamelles de jambon, quelques petits pois, la saucisse chinoise émincée et grillée.


Les larmes du tigres : 2 filets de bavettes d'alloyau de boeuf vivement grillés, puis coupées en fines tranches. On mélange avec toutes les herbes, coriandre, menthe, ciboule, citronnelle, piment, basilic. plus la poudre de riz et les graines de sésame. On prépare également une vinaigrette de sauce soja, poisson, huile de sésame et vinaigre de riz faite au GOÛT.
Seul conseil, les herbes, forcement volatile, s'oxyde très très vite, donc à couper au dernier moment...

c'est joli
et c'est très frais. il ne faut pas oublier d'enlever les graines du piment, comme ça, ça reste piquant, sans être insupportable.

Le riz, cuit, qui reste au chaud doucement...

Hop un petit coup de flash !!! juste pour les couleurs..


et ben dis donc....

lundi 16 juin 2008

Pacific Ocean Blue

Aujourd’hui sort Pacific Ocean Blue, l’unique album de Dennis Wilson, le batteur des Beach Boys et frère de Brian et Carl.
Alors pourquoi faire un post sur une réédition ? D’abord ce disque est quasi introuvable (bien sur il y a toujours le peer to peer, mais bon…). Sorti en 1977, il fût rapidement en rupture de stock et ne fût jamais re-pressé. Ensuite on l’a souvent comparé à Pet Sounds, qui est quand même un des meilleurs disque de pop music, incroyablement travaillé et d’une beauté parfois déchirante. Mieux, on le dit même supérieur à Smile (l’autre fantasme des Beach Boys et censé être le chef d’œuvre ultime de Brian Wilson… ce qui finalement est faux…). Donc, le voilà enfin, l’arlésienne de la pop…

Mais parlons un peu de Dennis. Frère cadet de Brian et Carl, on raconte qu’il intégra le groupe à la demande de sa mère qui avait peur qu’il soit mis de côté par ses frères. Il se met donc à la batterie, sans réel talent, mais avec une énergie débordante et communicative. Mais surtout, Dennis est beau surtout en comparaison de Mike « Bastard » Love avec sa calvitie naissante et filasse.
Dennis devient donc la coqueluche des jeunes filles, et il aime ça. On ne sait pas combien de conquêtes féminines il a pu avoir (parmis elles la femme et la fille de Mike Love, ha ha ha !!!). Il s’enferme alors dans ce rêve californien de belles filles, de party, d’alcool à gogo et d’expériences à toutes les substances produites en cette fin des 60’s. Mais, mais, mais… réduire Dennis à un beau gosse écervellé n’est pas la vérité. Tout comme Brian, mais de façon moins évidente, il développe une musicalité et un sens de la mélodie certain (les seuls morceaux décents des Beach Boys post Pet Sounds sont de Dennis). Il sera d’ailleurs le seul a totalement appuyer son frère lors de la composition de Pet Sounds, ce que, bien évidemment, Mike Love ne fera pas. Malheureusement, Dennis est vraiment pris au piège, considéré comme un gros pigeon du music business, il aura constament autour de lui des parasites dont Charles Manson et finalement sera ruiné par ses pensions alimentaires à répétitions.

Alors le disque ? de par le côté romanesque et romantique de la vie de Dennis, de par la rareté de Pacific Ocean Blue et du fait que sont présent sur cette réédition les sessions de son deuxième album Bambu, qui n’a jamais vu le jour. Cela en fait un objet particulièrement attirant, surtout si on aime les Beach Boys autant que moi. Il n’y a plus qu’à espérer qu’il soit à la hauteur de ce que l’on raconte, ce que je souhaite sincèrement du plus profond de mon cœur.

Dennis est mort noyé sous l’effet de l’alcool en décembre 83 à Marina Rey, dans l’océan pacifique…

Fuck Mike Love

dimanche 15 juin 2008

Bat Manga !

Chip Kidd, le designer-maquettiste de génie, sort un nouveau livre chez Panteon Books en septembre de cette année : Bat Manga! The Secret History of Batman in Japan !
En 1966, la folie du TV Show, Batman, avec Adam West et Burt Ward s'empare du Japon. Les japonais ont alors créé un manga de Batman. Ce travail de commande réalisé par Jiro Kuwata, le dessinateur de 8-Man (un des premiers mangas mettant en scène un super heros cyborg) fut publie dans le magazine Shonen King.
Ni DC, ni l'éditeur de Shonen King n'ont gardes dans leurs archives ce rare exemple de crossover culturel. Il a fallu 10 ans de patience a CHip Kidd pour retrouver des collectionneurs privés, afin de réaliser ce livre.

Comme dans tous livres de Chip Kidd, on peut voir des produits dérivés d'époque.

La jaquette dépliée

Une illustration de Jiro Kuwata

Le dos et la tranche du livre

La couverture de l'édition brochée


Pour finir le BRD HK du film avec Adam West... jaquette cool...
voila, c'est commandé sur amazon...

samedi 14 juin 2008

More Old Man

Oh boy !
Enfin, la commande de Play Asia est arrivée...

Le colis a failli se perdre... d'où, l'immense retard.

Gurren Lagann by Revoltech

OST de MGS4

Le Real Action Heroes de Solid Snake by Medicom



Bon, on ne voit que la boite... je ferai des photos une fois l'action doll monté.

Seeya !

haricots de cowboys

Heeeee aaaaaaaaah !!!! Howdie !!!

Hier soir, j’ai fait un tout petit plat que ma mère me faisait assez régulièrement quand j’étais petit : des haricots de cowboys.
Rien de plus simple, il faut des haricots en conserve (plutôt des mogettes), un oignon, un gousse d'ail, un boite de pulpe de tomate, de la poitrine de porc salée (et pas fumée) et quelques épices.

On fait notre base en incorporant la tomate aux oignons et lardons qu'on aura réduit auparavant, on fait mijoter une petite demi heure, a feu doux en ayant ajouter un piment.
Lorsque ce travail a une bonne consistance, on ajoute les mogettes sans les égoutter. On laisse a feu doux pendant une vingtaine de minutes et c'est prêt.

La photo n'est absolument pas parlante... il y a bien nos haricots de cowboys avec un morceau de bavette grillée.
Je l'accorde, ce n'est vraiment pas un plat très fin, mais... ça fait parti de ces petits plats coupable et régressif...


Les photos des cowboys sont de Thomas Allen.

vendredi 13 juin 2008

The Old Man

Premières impressions…

On a toujours un peu de crainte lorsqu’arrive un jeu tel que MGS4. Des mois d’attentes, de fantasmes, de déclarations de développeurs, de journalistes. Les premières reviews, certaines dithyrambiques, d’autres mettant l’accent sur le mécontentement provoqué. C’est normal, une telle impatience ne peut que provoquer déception et frustration.
Alors, lorsque j’insère le BRD pour la première fois dans ma PS3, je pense à GTAIV et à la désillusion qu’il m’avait provoquée. Je croyais retrouver le fantastique bac à sable de GTAIII, ben non, très vite l’ennui des missions est arrivé, la récurrence des thèmes, ce côté « copier-coller » dans chaque interaction… bien sur, c’est très beau et on prend plaisir à se balader dans Liberty City, mais… c’est pas comme GTAIII. Trop urbain, trop de répétition.

C’est donc du bout des doigts que je lance l’installation sur le disque dur. Et là, d’emblée, la Kojima’s touch apparaît. Je ne veux pas faire de spoilers, mais alors que justement GTAIV me paraissait désincarné, MGS4 semble posséder une âme, propre à la série, à l’idée que Kojima se fait du jeu. Quelque chose, et avec ce nouveau volet d'autant plus, à la frontière du film et du jeu vidéo.
Les anciens MGS citaient un peu maladroitement ses influences, souvent de façon directe et sans prendre de recul. C’était sympa, ça faisait clin d’œil de fan-boys. Cette fois-ci Kojima a tout digéré, il n’est plus dans le pêché de jeunesse à vouloir tout dire et vite. Ce qui rend donc le jeu plus mature (Old Snake) et fatalement le tout est empreint d’une certaine nostalgie (c’est le dernier MGS avec Snake… du moins à ce qu’on dit…). Le générique, enfin, disons plutôt tout l’avant propos de l’act 1 est d’ailleurs empli d’une mélancolie certaine, avec une musique très douce contrastant sur des images de guerre très violentes avec un Snake se déchargeant en voix off de toute son amertume quant à ce qu’est devenu le monde.
D’emblée le ton y est : LA classe !!!
Certains moments sont d’ores et déjà culte (et pourtant je n’ai encore rien vu… du moins je le souhaite) : une cinématique dans laquelle on incarne un autre « personnage » et où on observe les réactions de Snake…, une petite fille (oui ! nous connaissons sa mère) ne sachant pas faire d’œuf au plat, la rat patrol de Meryl, l’infiltration dans la ville en ruine, toutes les explications géniales sur les ID (avec une infographie magnifique...) le destin de Naomi, Rose, etc.

C’est donc bien le blockbuster attendu qui s’ouvre à moi. Et durant les 5 heures auxquelles j’ai joué hier soir, je me suis aperçu que c’était sans aucun doute le monument tant espéré.

Certes, ceux qui sont réfractaires à l’esprit MGS (trop de bla bla, cinématiques trop longues, phases de jeu obsolètes, etc.) ne s’y essayeront même pas. Les autres, devraient retrouver beaucoup d’émotions, se poser des questions et trouver certaines réponses.
Paradoxalement, et toujours pour soutenir cette comparaison entre ces 2 blockbusters, alors que GTAIV fait partie de ces jeux free, et que MGS4 suit des chemins prédéterminés, la sensation de liberté me paraît plus importante dans MGS4, ou plutôt, la sensation d’un monde, d’un contexte.

Tout est beau, travaillé, léché… bien sur, on pourra dire : « non, ce n’est pas un vrai jeu next gen ! » mais qu’est ce que c’est réellement un jeu next gen ? De plus beau graphisme quasi photo réaliste ? Des modes on-line ? Un unique choix entre les casual games et les FPS ?
MGS4 n’est pas un jeu next gen, il est au-delà, il a développé sa propre mythologie et se place à des encablures de GTAIV qui n’aura que trop peu brillé à mes yeux.

Snake is THE old man

Hell Yeah !